(adler) ≈ the night is dark and full of terrors.

**~ inscrit le :** 14/09/2013

astrid adler.

death is coming for everyone and everything

NOM : adler. PRÉNOM(S) : astrid. ÂGE : trente-sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 09 septembre 1961 à Londres, royaume-uni. STATUT DU SANG : sang-pur. EMPLOI : professeur d'astronomie à poudlard. NIVEAU D’ÉTUDES : études terminées avec huit buses et sept aspics. LIEU DE VIE : londres sorcier, royaume unis BAGUETTE : taillée dans du bois de frêne, elle mesure 37,5 cm, ventricule de coeur de dragon, rude et spécialisée en sortilèges. Elle possède toujours cette baguette. GROUPE : the god complex. CÉLÉBRITÉ : lana parrilla. CRÉDITS : melisandre-asshai ; tumblr.

I. TON PERSONNAGE ET LA SITUATION ACTUELLE ? Le nouveau régime est désormais en place, sans doute que ton personnage pense beaucoup de choses de tout cela ! Résume ici, en un minimum de cinq lignes ce que ton personnage pense du Nouveau Régime, que ce soit depuis le pays même ou dans une vision de l'étranger : explique si sa vie est changée par tout ceci ou s'il n'en a rien à faire, s'il a envie de lutter ou non, ses craintes, ses envies et ainsi de suite.

II. TOUT-A-SAVOIR : tic, manie, truc à savoir sur le personnage (1) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (2) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (3) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (4) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (5) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (6) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (7) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (8) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (9) ◊ tic, manie, truc à savoir sur le personnage (10).

TON PETIT PSEUDO+PRÉNOM : young wolf ; marion. TON ÂGE : vint ans. PAYS : là où y a beauxbatons. TU AS TROUVÉ PI PAR : ça doit être wraith qui m'avais filé le lien un jour où je me plaignais de pas trouver de fofo rps à mon gout :fall:

. TON AVIS SUR PI : je l'ai trouvé à mon gout apparemment comme je me suis inscrite :héé:

. UN DERNIER MOT : c'est pas gentil de guillotiner les gens, ned et robb confirment je suis sûre.

(adler) ≈ the night is dark and full of terrors. 479167ornement

**~ inscrit le :** 14/09/2013

titre pour l'histoire.

citation, quote, lyrics, paroles, une phrase.

sweet she was, and pure and fair.
« On peut avoir le monde entier Astrid. Il suffit de faire les bons choix. » Sa voix souffla doucereusement au fond de son oreille. Un agréable murmure qui étira ses lèvres en un large sourire. Le monde entier. Elle le voulait. Elle pouvait devenir une grande sorcière, son nom pouvait rester marqué dans l’histoire, il suffisait qu’elle fasse le bon choix. Au beau milieu de cette guerre qui, silencieusement commençait à ronger le monde, elle pouvait choisir. C’était une question de camp ; à un moment ou à un autre, il y aurait les vainqueurs et les perdants. Il fallait suivre la bonne route. « Les bons choix, hein ? Qu’est-ce que tu choisis toi ? » Son choix serait le sien. Le monde, la gloire, la puissance, tout ça n’avait d’importance que si elle pouvait le vivre à ses côtés. Où il ira, elle irait, le suivant telle une ombre, même au plus profond des ténèbres. C’était ça le choix qu’elle faisait. C’était lui. Il avait ce sourire mauvais et pourtant si beau accroché sur le visage, elle aurait pu en avoir peur et pourtant, elle le trouvait éblouissant. Elle le vit relever sa manche pour lui montrer cette sombre marque dessinée à l’encre noire sur son avant bras. La marque des ténèbres. Elle la connaissait. Tout le monde la connaissait à présent. C’était sa marque. Le seigneur des ténèbres, celui qui régnait en maitre sur le monde tant il était craint. Une puissance qui faisait frissonner les plus courageux. Il était le monde, la gloire la puissance. Pour le moment. « L’armée du seigneur des ténèbres. » Elle plongea son regard dans le sien, se perdant presque au fond de ses yeux. Il avait fait son choix. Il semblait judicieux aux yeux d’Astrid. Personne n’arrivait à éradiquer le mage noir. Ils avaient peur de lui. Comment vaincre un homme alors que la peur empêchait les plus braves de prononcer ne serait-ce que son nom ? Aucun n’homme n’était immortel, mais Lord Voldemort n’en était pas loin. Doucement, elle glissa sa main sur sa joue, effleurant sa peau d’une chaleureuse caresse. « Tu as fais ton choix et j’ai fais le mien. » murmura-t-elle doucement, lui rendant ce sourire mauvais mais si beau qu’elle avait lu sur ses traits quelques instants plus tôt. Elle n’avait pas détourné le regard, lui non plus. Ils se fixaient toujours de la même façon, comme s’ils étaient capables de percevoir quelque chose au plus profond du regard de l’autre. « Quel est-il ? » Il le savait déjà. La réponse était simple et évidente, il ne pouvait pas l’ignorer. Beaucoup ne voyaient leur couple que comme une vulgaire erreur de jeunesse. Une folie qui leur passerait bien vite, parce qu’ils n’avaient rien en commun. Il était né dans une grande famille, portant une réputation digne de l’armée de Voldemort, elle était née dans une famille bien souvent souillée d’un sang impur. Pourtant, elle le suivrait jusqu’en enfer. S’il n’était qu’un meurtrier incapable d’aimer alors qu’il la tue, ça lui irait très bien. Elle l’aimait, même si nombreux étaient ceux qui lui répétaient qu’il s’agissait d’une folie passagère. « C’est toi. » Lui, l’armée de Voldemort et tout ce qui allait avec. Elle en acceptait le prix, les responsabilités, les devoirs, les conséquences. Elle acceptait tout. À nouveau, il lui sourit, avant de l’embrasser, elle l’aimait, il l’aimait et ensemble, ils finiraient par avoir le monde.

i called for a knight, but you're a bear.
Azkaban. Il s’était retrouvé à Azkaban. Il était pourtant cet homme qu’elle avait longtemps cru indestructible. Elle l’avait cru puissant et admirable et il était à Azkaban. La bonne blague. Elle avait été stupide, aveuglée par un amour qui n’avait pas de sens aujourd’hui. En finissant au fin fond de ce trou, il avait perdu de sa grandeur, il avait perdu cet éclat qui le rendait si attirant. Il n’était pas ce qu’elle avait cru qu’il était. Jamais il ne la dénoncerait. C’était la douce promesse qu’il lui avait murmuré au creux de l’oreille au moment où ils s’étaient emparés de lui. Elle ne craignait rien. Aux yeux du gouvernement, aux yeux de nombreuses personnes, elle n’était qu’une victime dans cette affaire. La pauvre jeune femme qu’on avait essayé de manipuler mais qui n’avait absolument rien à voir avec les crimes commis par l’homme dont elle était amoureuse. On croyait en son innocence et lui, au fond de sa geôle morbide il ne ferait jamais tomber toutes les barrières dont elle s’efforçait de se protéger. C’était lui qui lui avait dit un jour qu’elle pourrait avoir le monde et ce n’était pas à Azkaban qu’elle pourrait l’avoir, ce monde qui lui tendait les bras. Elle n’irait pas là-bas, elle ne finirait pas aussi pathétiquement que lui. Elle valait tellement mieux que ça. Le seigneur des ténèbres n’était plus, il avait emporté avec lui tout ce qu’elle avait apprécié du monde qu’il avait construit. Trop de choses commençaient à perdre son sens sans celui-dont-on-ne-doit-pas-le-nom, comme les gens l’appelaient, ces crétins apeurés par un simple nom. « Tu vois Astrid, tu aurais dû nous écouter. Ce garçon n’était pas fait pour toi. » Cette phrase – ou tant d’autres variantes qui revenait au même – elle ne cessait de l’entendre. Toujours le même refrain, encore et encore, parce que d’après sa mère, d’après son père, d’après un grand nombre de ses proches, elle avait fait une terrible erreur en tombant amoureuse d’un monstre. Dans un soupire las, elle leva un regard sombre sur sa mère. « Je sais. » murmura-t-elle avec froideur. Elle avait fait une erreur, elle le savait, elle n’avait aucune raison de le nier. Elle avait eu tord de suivre cet incapable, elle avait eu tord de laisser son cœur lui dicter de suivre ce type jusqu’en enfer. Elle s’en était aperçue suffisamment tôt pour échapper à l’enfer, pour échapper aux murs sombres et glacés d’Azkaban. C’était une erreur d’avoir choisi de rejoindre le seigneur des ténèbres pour les beaux yeux d’un homme qui ne valait plus rien aujourd’hui. Elle aurait du le faire sans lui. Elle avait fait des erreurs, oui, mais rejoindre les mangemorts n’en était pas une, elle le savait. Au moins, l’imbécile lui avait ouvert les yeux, avec ou sans lui (surtout sans lui à présent), le monde lui appartenait.

oh come they said, oh come to the fair.
« Astrid. » C’était une voix familière qui venait de lui fouetter les tympans. Elle laissa tomber les sacs qu’elle tenait dans les mains. Elle avait beaucoup voyagé ces dernières années et la revoilà au point de départ, chez elle. Avec lui. Les lumières de la pièce s’allumèrent d’un coup et ainsi elle pu voir son visage, lui que le temps et les années passées à Azkaban n’avait pas arrangé. « Qu’est-ce que tu fais là ? » Elle savait que nombreux étaient les mangemorts qui s’étaient échappés d’Azkaban, elle avait que le seigneur des ténèbres était de retour, c’était bien pour ça qu’elle était revenue en Angleterre. Mais elle n’était pas revenue seule, elle n’était pas partie seule. Elle était partie avec un autre homme. Encore un qui lui promettait le monde. Un qui au moins, lui avait offert quelque chose de plus concret qu’Azkaban. « Je suis revenu pour toi. » Elle leva les yeux au ciel. C’était stupide. Elle ne voulait pas de lui, elle ne voulait pas qu’il revienne pour elle, il ne valait rien cet imbécile. Elle voulait juste le voir déguerpir de sa maison et rapidement. Avec le ministère à ses traces, il allait lui attirer des problèmes s’il restait planté là comme un idiot fini. « Quelle chanceuse je suis. » Son ton allait de pair avec son air blasé. Elle n’avait pas besoin qu’il revienne vers elle. Leur histoire s’était terminée le jour où il avait été condamné à Azkaban et depuis ce jour là, elle avait eu largement le temps de passer à autre chose. « Tu disais que tu me suivrais jusqu’en enfer, tu disais que toi et moi ce serait pour toujours. » Elle l’avait dit, c’était bien vrai. Mais elle avait été stupide, elle s’était trompé et ces douces promesse n’appartenait plus qu’à un passé, ce n’étaient que des ombres reflétant un futur qui n’arriverait jamais. Elle n’irait plus nulle part avec lui, elle n’en avait pas envie. Il n’en valait pas la peine. « Par Merlin, j’en ai dit des choses. Toi aussi tu en disais. Mais seize ans ont passé et j’ai grandi. Tu étais un grand sorcier, celui que j’aurais pu suivre n’importe où, à part à Azkaban. » Tout sauf cette prison. Tout sauf n’importe quelle prison. Elle n’imaginait pas sa vie derrière les barreaux, elle n’imaginait plus sa vie avec lui qui s’était fait enfermé si facilement. Pauvre type qu’il était. « Seize ans que j’ai passé à Azkaban en te protégeant ! » Sa voix ressemblait à présent à un rugissement de colère. Il l’avait protégée, elle n’en demandait pas moins, après tout, ce n’était pas elle l’idiote qui avait commis une faute suffisamment grande pour être condamnée à Azkaban. Elle était plus douée que ça, plus maline, vraiment meilleure que lui. Elle haussa les épaules, avant de retirer sa veste pour la suspendre au porte manteau, elle était chez elle, il n’était qu’une perte de temps, elle avait vraiment mieux à faire que d’écouter ses plaintes. « Merci pour ça, maintenant, si tu veux bien nous laisser. » Elle désigna la porte d’un mouvement de tête, un sourire manquant de courtoisie, dessiné sur les lèvres. Le regard du prisonnier se posa sur l’homme à ses côtés, comme s’il venait juste de remarquer sa présence. « C’est qui celui là ? » Demanda-t-il énervé. Elle soupira, elle lui en posait des questions elle ? Elle vit l’homme visé s’avancer, près à répondre, elle l’arrêta dans son élan. « Qu’est-ce que tu croyais ? Tu as passé seize ans à Azkaban, je n’allais pas rester seule à t’attendre pendant tout ce temps. » Elle commençait à s’agacer, sa patience était plus que limitée et il venait d’en franchir la limite. Elle n’allait pas passer toute sa soirée à lui demander de partir, elle avait bien mieux à faire et elle n’avait aucun compte à lui rendre. « Tu m’as trahi. » Elle leva les yeux au ciel. Elle n’avait rien trahi du tout, c’était lui qui avait tout fichu en l’air en faisant n’importe quoi. Il était temps qu’il passe à autre chose au lieu de rester accroché à elle comme une sangsue. « C’est ça. Dégage de là maintenant. » Le regard du sorcier s’était assombrit en un rien de temps. Elle n’avait jamais vu un tel regard auparavant, Azkaban avait du avoir des conséquences sur lui, ça n’avait rien de surprenant, Azkaban avait des conséquences sur tout le monde. « Avada Kedevra ! » Sans qu’elle n’ait eu le temps de comprendre ce qui était en train de se passer, un éclair vert frappa de plein fouet son petit ami qui en un rien de temps s’effondra au sol. Mort. Il venait de le tuer l’imbécile. Elle se précipita vers le corps du défunt, comme si ça pouvait changer quelque chose. « Tu l’as tué. » C’était évident, il le savait très bien, elle ne faisait que souligner les faits. Dans un soupire, elle se redressa, laissant le corps là où il était sans vraiment y faire attention, ça n’avait plus d’importance désormais. « Il semblerait oui et de toute évidence, ça n’a pas l’air d’être grave à tes yeux. » La vérité, c’était qu’il avait raison. Elle ne pleurerait pas pour cet homme, même si elle pensait l’avoir aimé, même s’il avait redonné du sens à sa vie, elle ne pleurerait pas parce qu’elle semblait en être incapable. « Tu ferais mieux de partir à moins que tu veuilles tester le temps que mettent les aurors à rappliquer. » Ils allaient venir. Un sortilège impardonnable venait d’être prononcé, ils viendraient c’était certains. « Et quoi ? Tu ne veux pas que je retourne à Azkaban ? » Un large sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme. « S’ils t’enferment encore, ce sera beaucoup plus difficile pour moi de te tuer, alors pars vite d’ici. » Il lui rendit son sourire, comme si la situation avait quelque chose d’amusant, puis il transplana. Très vite les Aurors arrivèrent sur les lieux du crime, elle avait raison, ils étaient vraiment rapides ceux là, mais pas assez, sinon, ils l’auraient arrêté avant qu’il ne rapplique chez elle pour bousiller le peu de chose qu’elle avait dans sa vie. Il le paierai de sa vie, il pouvait en être sûr.

then she sighed and squealed and kicked the air.
Poudlard. Majestueux château qui faisait rêver la plupart des jeunes sorciers. Dans ses souvenirs, elle avait aussi adoré ce château, elle y avait découvert bien des merveilles quand elle l’avait fréquenté, quand elle était plus jeune. Elle n’y avait pas remis les pieds depuis la fin de sa septième année presque vingt ans plus tôt. Il avait changé, en bien selon elle. Il n’y avait plus ce vieux dumbledore, tellement vieux que Merlin seul savait comment il arrivait encore à tenir debout, alors tenir une école, certainement plus dans ses cordes. Les cours y étaient bien plus intéressants d’après elle, elle se serait réjouit d’un cours d’initiations aux forces du mal elle. Le ministère de la magie était tombé et dans sa chute il avait poussé le monde dans une nouvelle guerre. Une guerre bien plus prometteuse que la précédente. Les mangemorts avaient l’avantage sur l’ordre du phénix. Azkaban était devenue une prison réservée aux traitres et au sang-de-bourbe, Poudlard ressemblait à l’enfer, le ministère était contrôlé par les mangmorts. Enfin, la terreur régnait sur le monde. Le retour de seigneur des ténèbres était une bien bonne chose, un nouveau départ pour Astrid. Là, au fin fond de l’école de sorcellerie de Poudlard, elle semblait presque épanouie. Elle qui n’avait su se réjouir d’aucun poste qu’on avait pu lui confier depuis sa sortie de Poudlard, elle qui avait passé son temps à voyager à droite et à gauche pour trouver une occupation dans sa vie qui n’avait plus de sens sans les ténèbres. Maintenant, elle était à sa place, coincée dans un château certes, mais au moins, elle avait de quoi s’amuser, enfin elle se sentait forte, indestructible et crainte, ce dont elle avait toujours rêvé, enfin, elle avait le monde. Il avait eu raison l’autre imbécile qu’elle avait suivit bien des années plus tôt, avoir le monde n’était qu’une question de choix et loin de celui qui l’avait poussée vers les ténèbres, elle restait convaincue qu’elle avait fait les bons choix.

**~ inscrit le :** 14/09/2013

titre pour l'histoire.

citation, quote, lyrics, paroles, une phrase.

Dans cette partie de votre fiche, il vous est demandé de rédiger l'histoire de votre personnage en un minimum de trente lignes bien remplies : car oui, nous aimons les histoires un petit peu étoffées, et puis ça nous permettra de mieux avancer dans la connaissance de votre personnage. Sous la forme narrative ou d'un résumé, c'est comme vous voulez pour la forme, mais pensez évidemment aux évolutions chronologiques et autres récents événements du monde magique : en cas de question, de toute manière, posez vos questions, nous sommes là pour répondre. Pour ceux qui auraient des soucis en orthographe bonpatron et word sont des logiciels/sites très intéressants, qui pourront grandement vous aider ! Alors n'hésitez pas à en faire bon usage : une belle fiche bien propre, c'est la classe !